Science-Fiction : Comment parler à un alien, Francis Ford Coppola et Bifrost 94...

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Comment parler à un Alien ?

Le docteur en informatique-linguistique (également directeur de recherche au CNRS) Frédéric Landragin s’interroge sur un premier contact humain / Alien dans son livre : Comment parler à un Alien ?
Quel langage adopter pour communiquer avec des êtres aux antipodes de ce que nous sommes ? Quelle langue choisir quand sur terre, il en existe déjà plus de 7000 ? Mais aussi, comment surmonter les divergences culturelles intersidérales qui nous séparent ? 

La couverture est illustrée par Cedric Bucaille et est disponible aux éditions le Bélial’.

Comment parler à un Alein dans 300 milliards d'étoiles

Par ailleurs, l'auteur vient de son livre en parler dans le Podcast « 300 milliards d’étoiles », l’occasion de se demander l’utilité des plaques envoyées dans les Sondes Pioneer 1 & 2 ... L’occasion également de faire un retour sur les langages inventés proposés dans des univers imaginaires, tels que dans le film Premier Contact, ou les langues fictives de Game of Thrones ; mais aussi le Klingon. En effet, le langage inventé pour la série Star Trek est maintenant enseignée dans un institut de formation ! 

Francis Ford Coppola

Sept ans après son dernier film Twixt, film d'horreur gothique passé inaperçu, le réalisateur revient avec un tout nouveau projet : Megalopolis.

Il s'agit d'un film de science-fiction basé sur la ville de New-York, en reconstruction avec un cataclysme. Un architecte crée une zone utopique au beau milieu de la ville américaine, nommée "City World."
Le film, qui n'a pas à vocation d'être mainstream selon le réalisateur, devait être tourné dans l'année. Aucun nom d'acteur n'a encore été dévoilé de manière formelle mais quelques noms sont déjà dans les tuyaux, tels que Jude Law, Kevin Spacey, Robert de Niro, Paul Newman, etc.. mais bien sûr, rien d'officiel pour le moment.

Bifrost 94

La revue sur l'actualité de l'imaginaire revient avec son 94ème numéro, chez Le Bélial' depuis 1996. La couverture est signée Nicolas Sarter et sera consacrée à John W. Campbell, auteur de La Bête d'un Autre Monde ou encore d'autres œuvres comme Le Ciel est mort. On vous laisse avec un tout petit extrait de ce dernier.

Quelque chose me contraignait à rester là, comme si une main gigantesque se fût posée sur ma nuque. Une idée me traversa l’esprit. Je regardai le soleil et sursautai : quatre ou cinq fois plus gros qu’à l’ordinaire, rouge sang mais pourtant loin de se coucher, il était suspendu à quarante-cinq degrés au dessus de l’horizon. Aucune parcelle de chaleur ne semblait en émaner : cet astre était froid !

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