Don Lorenjy a écrit :J'ai l'air de blaguer (à part) mais il y a sans doute le même travail de recherche en profusion dans L'œil de la Nuit qu'en assèchement dans La Route.
Il y aurait bien une autre hypothèse.
C'est une nouvelle écrite à deux mains, et les co-auteurs se sont répartis le travail.
A l'un les substantifs, à l'autre les adjectifs (c'est plus couteux, ça nécessite d'avoir chacun un
Dictionnaire Des Mots Peu Courants, mais quand on aime, on ne compte pas)
Les moyens informatiques modernes permettent, en final, d'assurer la concaténation des deux hemi-textes sans même d'intervention humaine en post-synchronisation.
D'où ce sentiment de subtil décalage qui peut saisir le lecteur inaccoutumé des cadavres exquis...