je suis d'accord, dans la moitié des bouquins de vance, ya une scène où le héros drague l'héroine ! ( j'ai des souvenirs de ça dans le prince des étoiles et aussi lurulu, me rappelle plus pour les autres, ça doit être vrai dans emphyrio)rmd a écrit :Ouai, bon, on doit bien pouvoir en trouver 3 ou 4, mais franchement, dans leur grande majorité, les femmes de Vance sont soit des pouffes soit des teignes. Et j'ai lu quasiment tous les vance parus en francais, alors bon, je ne crois pas faire une généralisation hâtive.justi a écrit :Je trouve qu'on fait un peu trop de généralisations hâtives, concernant Vance, et que celles qui concernent la place et l'usage (pouf, pouf) des femmes dans ses romans est une des plus agaçantes.
Et c'est tout à fait normal, l'oeuvre de Vance est globalement cynique, les hommes n'y sont pas mieux lotis.
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- orcusnf
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orcusnf a écrit :je suis d'accord, dans la moitié des bouquins de vance, ya une scène où le héros drague l'héroine ! ( j'ai des souvenirs de ça dans le prince des étoiles et aussi lurulu, me rappelle plus pour les autres, ça doit être vrai dans emphyrio)rmd a écrit :Ouai, bon, on doit bien pouvoir en trouver 3 ou 4, mais franchement, dans leur grande majorité, les femmes de Vance sont soit des pouffes soit des teignes. Et j'ai lu quasiment tous les vance parus en francais, alors bon, je ne crois pas faire une généralisation hâtive.justi a écrit :Je trouve qu'on fait un peu trop de généralisations hâtives, concernant Vance, et que celles qui concernent la place et l'usage (pouf, pouf) des femmes dans ses romans est une des plus agaçantes.
Et c'est tout à fait normal, l'oeuvre de Vance est globalement cynique, les hommes n'y sont pas mieux lotis.
Je ne vois pas en quoi le fait que le héros drague l'héroïne fait de celle-ci une femme faible et pourquoi ce serait le seul emploi qu'elle ait dans le roman. Il se trouve que Pallis Artworde, dans Le Prince des étoiles a très exactement un profil de cruche. Dans le même cycle, je peux t'assurer qu'Alice Wroke est loin d'avoir ce profil, ce qui n'empêche pas le héros de la draguer (et d'arriver à ses fins). Une scène de drague n'invalide pas la puissance (ou non) d'un personnage féminin. Les quelques femmes que j'ai cité dans mes posts précédents se font aussi draguer : est-ce que ça les rend moins intelligentes, plus faibles, moins morales ?
Par ailleurs Lurulu est un des plus mauvais romans de Vance (voire un des plus mauvais romans que j'ai lu). Je soupçonne sa femme et ses ayant-droits de l'avoir écrit.
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Bon, ce n'est jamais que la scène standard de tout film hollywoodien de l'époque, non? Est-il nécessaire de préciser que c'est certainement voulu?orcusnf a écrit :je suis d'accord, dans la moitié des bouquins de vance, ya une scène où le héros drague l'héroine ! ( j'ai des souvenirs de ça dans le prince des étoiles et aussi lurulu, me rappelle plus pour les autres, ça doit être vrai dans emphyrio)rmd a écrit :Ouai, bon, on doit bien pouvoir en trouver 3 ou 4, mais franchement, dans leur grande majorité, les femmes de Vance sont soit des pouffes soit des teignes. Et j'ai lu quasiment tous les vance parus en francais, alors bon, je ne crois pas faire une généralisation hâtive.justi a écrit :Je trouve qu'on fait un peu trop de généralisations hâtives, concernant Vance, et que celles qui concernent la place et l'usage (pouf, pouf) des femmes dans ses romans est une des plus agaçantes.
Et c'est tout à fait normal, l'oeuvre de Vance est globalement cynique, les hommes n'y sont pas mieux lotis.
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Oui mais dès le départ, ça place la femme dans une position d'infériorité. Attention, je ne dis pas que le fait de se faire séduire, gnagnagna, ça rend inférieur, mais la vision qu'en a Vance si. On se croirait presque dans une série romantique. Et c'est le seul auteur us qui à ma connaissance fait ce genre de choses.
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Dans la "Mémoire des étoiles" c'est le héros qui se fait draguer. Ce qui est différent tout de même.
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Dès le départ de quoi?orcusnf a écrit :Oui mais dès le départ, ça place la femme dans une position d'infériorité. Attention, je ne dis pas que le fait de se faire séduire, gnagnagna, ça rend inférieur, mais la vision qu'en a Vance si. On se croirait presque dans une série romantique. Et c'est le seul auteur us qui à ma connaissance fait ce genre de choses.
Si le livre était écrit comme un manifeste anti-féministe (ce qui n'est jamais le cas chez Vance), ta remarque se tiendrait.
Mais quand la scène est un simple moment accessoire dans le livre, la scène "traditionnelle" de la séduction de l'héroïne par le héros, il n'y a pas de "placement de la femme en situation d'infériorité".
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Jack Vance ? C'est le plus grand auteur de SF... et de loin.
Ses persos féminins ? Géniaux !
Ses intrigues ? Géniales.
Ses romans ? Tous géniaux !
Et là je viens de faire l'acquisition d'un roman de Vance que je cherchais depuis un bail : la planète des damnés. Et une fois que je l'aurais lu, je viendrais dire qu'il est génial
Comment ça je suis un peu borné et fanatique concernant Vance ?! Pas du tout !
Il vient de sortir son autobiographie ! Vivement quelle soit traduite.
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Et là je viens de faire l'acquisition d'un roman de Vance que je cherchais depuis un bail : la planète des damnés. Et une fois que je l'aurais lu, je viendrais dire qu'il est génial
Comment ça je suis un peu borné et fanatique concernant Vance ?! Pas du tout !
Il vient de sortir son autobiographie ! Vivement quelle soit traduite.
J'ajouterai que la varièté évidente des réactions des diverses héroïnes face aux assauts du mâle du livre montre bien que cette "mise en infériorité" n'est pas réelle. J'admettrai ce point de vue si toutes lesdites héroïnes succombaient aveuglément aux avances qui leur sont faites (comme chez Lin Carter -rires- par exemple), mais c'est loin d'être le cas. Par ailleurs, nombre de personnages mâles de Jack Vance sont de beaux machos qui ne peuvent pas s'empêcher d'essayer de tomber chaque jolie femme qu'ils rencontrent. En agissant de telle sorte, ce sont souvent eux-mêmes qu'ils mettent en infériorité (voir par exemple la relation Glinnes Hulden/Farero dans Trullion ou, encore plus amusante, la relation Jubal Droad/Sune Mircea dans Un tour en Thaéry).bormandg a écrit :Dès le départ de quoi?orcusnf a écrit :Oui mais dès le départ, ça place la femme dans une position d'infériorité. Attention, je ne dis pas que le fait de se faire séduire, gnagnagna, ça rend inférieur, mais la vision qu'en a Vance si. On se croirait presque dans une série romantique. Et c'est le seul auteur us qui à ma connaissance fait ce genre de choses.
Si le livre était écrit comme un manifeste anti-féministe (ce qui n'est jamais le cas chez Vance), ta remarque se tiendrait.
Mais quand la scène est un simple moment accessoire dans le livre, la scène "traditionnelle" de la séduction de l'héroïne par le héros, il n'y a pas de "placement de la femme en situation d'infériorité".
Enfin, nombre d'histoires de Vance sont, entre autres, des histoires d'amour. Normal qu'on y trouve des scènes de séduction.
Pour les amateurs de Vance, je conseille le Brillion Noir de Matthew Hugues.
C'est un peu dans le style de "la planète géante".
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Auteurs préférés: Vance, Zelazny, Herbert, Asimov, Cook(Glen), Erikson, Gemmel, Eddings, Beam Piper
Si tu veux déplacer une montagne, commence par la première pierre.
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Tu parles à un convaincu! Grand bien te fasse!Aède a écrit :Jack Vance ? C'est le plus grand auteur de SF... et de loin.
Ses persos féminins ? Géniaux !
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Ses romans ? Tous géniaux !
Et là je viens de faire l'acquisition d'un roman de Vance que je cherchais depuis un bail : la planète des damnés. Et une fois que je l'aurais lu, je viendrais dire qu'il est génial
Comment ça je suis un peu borné et fanatique concernant Vance ?! Pas du tout !
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J'ai effectivement pensé à Vance, mais pas spécialement à La planète géante. Tant le héros que l'ambiance déjantée sont assez vanciens, effectivemment. L'ambiance est, aussi, par moments très "Dying Earth", à l'usage de magie près...PhilVh a écrit :Pour les amateurs de Vance, je conseille le Brillion Noir de Matthew Hugues.
C'est un peu dans le style de "la planète géante".
Modifié en dernier par bormandg le dim. mars 01, 2009 1:20 pm, modifié 1 fois.
"If there is anything that can divert the land of my birth from its current stampede into the Stone Age, it is the widespread dissemination of the thoughts and perceptions that Robert Heinlein has been selling as entertainment since 1939."
Moi c'est le côté voyage à la surface de la planète dans un véhicule un peu particulier qui me faisait un peu penser à la planète géante mais on retrouve aussi cela dans des aventures de Cugel
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