Un concours de nouvelles autour de Kheradon
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Un concours de nouvelles autour de Kheradon
Le site Art de Lire (http://artdelire.blogspot.com/ ) avec la collaboration du site Elbakin.net (http://www.elbakin.net/ ) et les éditions Hachette organise un concours de nouvelle ayant pour cadre les Chroniques de Kheradön de Chris Debien.
Le texte de Chris Debien qui doit être intégré dans la nouvelle
"Il martelait les parois avec une énergie désespérée, comme pour s’extraire de cette gangue élastique qui l’oppressait un peu plus à chaque instant.
Une sensation inédite l’envahissait petit à petit, une sensation désagréable que son système nerveux rudimentaire analysait comme une menace.
Danger.
Tout au fond de lui, des dizaines de signaux s’allumaient, de lancinantes alarmes qui déversaient leurs feux brûlants dans son organisme : le sang n’affluait plus aussi vite et la source d’oxygène menaçait de se tarir.
Danger"
Dead line : lundi 26 octobre 2009
Infos : http://concoursdekheradon.blogspot.com/
Le texte de Chris Debien qui doit être intégré dans la nouvelle
"Il martelait les parois avec une énergie désespérée, comme pour s’extraire de cette gangue élastique qui l’oppressait un peu plus à chaque instant.
Une sensation inédite l’envahissait petit à petit, une sensation désagréable que son système nerveux rudimentaire analysait comme une menace.
Danger.
Tout au fond de lui, des dizaines de signaux s’allumaient, de lancinantes alarmes qui déversaient leurs feux brûlants dans son organisme : le sang n’affluait plus aussi vite et la source d’oxygène menaçait de se tarir.
Danger"
Dead line : lundi 26 octobre 2009
Infos : http://concoursdekheradon.blogspot.com/
Jérôme
'Pour la carotte, le lapin est la parfaite incarnation du Mal.' Robert Sheckley
'Pour la carotte, le lapin est la parfaite incarnation du Mal.' Robert Sheckley
Voici ma nouvelle:
"Il martelait les parois avec une énergie désespérée, comme pour s’extraire de cette gangue élastique qui l’oppressait un peu plus à chaque instant.
Une sensation inédite l’envahissait petit à petit, une sensation désagréable que son système nerveux rudimentaire analysait comme une menace.
Danger.
Tout au fond de lui, des dizaines de signaux s’allumaient, de lancinantes alarmes qui déversaient leurs feux brûlants dans son organisme : le sang n’affluait plus aussi vite et la source d’oxygène menaçait de se tarir.
Danger. Son préservatif venait de se rompre."
"Il martelait les parois avec une énergie désespérée, comme pour s’extraire de cette gangue élastique qui l’oppressait un peu plus à chaque instant.
Une sensation inédite l’envahissait petit à petit, une sensation désagréable que son système nerveux rudimentaire analysait comme une menace.
Danger.
Tout au fond de lui, des dizaines de signaux s’allumaient, de lancinantes alarmes qui déversaient leurs feux brûlants dans son organisme : le sang n’affluait plus aussi vite et la source d’oxygène menaçait de se tarir.
Danger. Son préservatif venait de se rompre."
Listen now. Whoever you are, with these eyes of yours that move themselves along this line of text; whoever, wherever, whenever. If you can read this sentence, this one fragile sentence, it means you're alive. (Jeff Noon - Falling out of cars)
- Lisore
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- Localisation : Loin de toute librairie digne de ce nom :(
Non, pas à ce point quand même. Il a au moins l'air de savoir ce que veulent dire les mots qu'il emploie. (on pense bien au même ? le seul, l'unique ? celui-dont-on-ne-doit-pas-écrire-le-nom des fois que ça l'invoque ?)CitronMeringue a écrit :On dirait du...Le_navire a écrit :
Bon.
Jamais rien lu du monsieur. Je ne saurais donc juger de son style.
Mais les trois phrases choisies sont d'une incomparable lourdeur clichetonnesque.
Impressionnant.
"Il martelait les parois avec une énergie désespérée, comme pour s’extraire de cette gangue élastique qui l’oppressait un peu plus à chaque instant.
Une sensation inédite l’envahissait petit à petit, une sensation désagréable que son système nerveux rudimentaire analysait comme une menace.
Danger.
Tout au fond de lui, des dizaines de signaux s’allumaient, de lancinantes alarmes qui déversaient leurs feux brûlants dans son organisme : le sang n’affluait plus aussi vite et la source d’oxygène menaçait de se tarir.
Danger"
Extrait de Journal d'une Crotte
Une sensation inédite l’envahissait petit à petit, une sensation désagréable que son système nerveux rudimentaire analysait comme une menace.
Danger.
Tout au fond de lui, des dizaines de signaux s’allumaient, de lancinantes alarmes qui déversaient leurs feux brûlants dans son organisme : le sang n’affluait plus aussi vite et la source d’oxygène menaçait de se tarir.
Danger"
Extrait de Journal d'une Crotte
« J’ai un projet, devenir fou. »
Charles Bukowski
Charles Bukowski
- Lisore
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JPB a fait ça. Et encore, je ne t'ai pas donné le lien vers le site "officiel" (non, ne me remercie, ce n'est pas de ma faute, ça ne marche plus )
De mon côté, je ne vois pas à quel illustre artiste tu fais allusion
De mon côté, je ne vois pas à quel illustre artiste tu fais allusion
Inspiration
Inspiration. Vous avez dit inspiration ?
le moins que l'on puisse dire c'est que ces quelques lignes semblent bousculer certains d'entre vous au plus profond de leur inconscient et j'avoue que j'y suis particulièrement sensible (comprenne qui voudra !)...
@ gutboy : j'aime beaucoup cette interprétation du texte original (originel ?) qui n'est pas si éloignée que ça d'ailleurs du signifiant initial.
@ florent : bien que cette conclusion scatologique ne soit pas très élogieuse pour le texte, j'avoue avoir éclaté de rire... d'autant que je n'ai pas vu la signature tout de suite !
@ Lensman : merci pour cet encouragement, quelques compliments font toujours mouche dans ce monde impitoyable !
@ Le_navire / Lisore / citronmeringue : toutes les critiques étant bonnes à prendre, je note vos remarques même si je les trouve un tantinet cinglantes alors que ces quelques lignes inoffensives ne vous ont rien fait au demeurant. Ceci dit, afin de juger de la qualité, de la lourdeur ou autre d'un style, il convient de remettre le texte dans son contexte et je vous invite (même si c'est apparemment en pure perte) à lire le premier tome de la trilogie pour étayer vos arguments.
Enfin, je tiens à vous rassurer sur ma maîtrise du vocabulaire employé : mon éditrice m'a payé un dictionnaire dés le début de l'écriture !
Quant à me comparer à JPB, ça, c'est vraiment bas !
En espérant que cette réponse en provoque d'autres et que nos relations ne s'en trouvent pas ternies, je vous remercie d'avoir accorder quelques instants à ce thread !
A tout bientôt
Chris²
le moins que l'on puisse dire c'est que ces quelques lignes semblent bousculer certains d'entre vous au plus profond de leur inconscient et j'avoue que j'y suis particulièrement sensible (comprenne qui voudra !)...
@ gutboy : j'aime beaucoup cette interprétation du texte original (originel ?) qui n'est pas si éloignée que ça d'ailleurs du signifiant initial.
@ florent : bien que cette conclusion scatologique ne soit pas très élogieuse pour le texte, j'avoue avoir éclaté de rire... d'autant que je n'ai pas vu la signature tout de suite !
@ Lensman : merci pour cet encouragement, quelques compliments font toujours mouche dans ce monde impitoyable !
@ Le_navire / Lisore / citronmeringue : toutes les critiques étant bonnes à prendre, je note vos remarques même si je les trouve un tantinet cinglantes alors que ces quelques lignes inoffensives ne vous ont rien fait au demeurant. Ceci dit, afin de juger de la qualité, de la lourdeur ou autre d'un style, il convient de remettre le texte dans son contexte et je vous invite (même si c'est apparemment en pure perte) à lire le premier tome de la trilogie pour étayer vos arguments.
Enfin, je tiens à vous rassurer sur ma maîtrise du vocabulaire employé : mon éditrice m'a payé un dictionnaire dés le début de l'écriture !
Quant à me comparer à JPB, ça, c'est vraiment bas !
En espérant que cette réponse en provoque d'autres et que nos relations ne s'en trouvent pas ternies, je vous remercie d'avoir accorder quelques instants à ce thread !
A tout bientôt
Chris²
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- Enregistré le : mar. déc. 23, 2008 4:45 pm
Re: Inspiration
Je ne pensais pas que l'auteur de l'extrait tomberait dessus. Du coup, j'ai un peu honte (c'est rare).Chris² a écrit : @ florent : bien que cette conclusion scatologique ne soit pas très élogieuse pour le texte, j'avoue avoir éclaté de rire... d'autant que je n'ai pas vu la signature tout de suite !
« J’ai un projet, devenir fou. »
Charles Bukowski
Charles Bukowski
Hum.
Chris, intervention maladroite de ta part.
Ces lignes-là sont mauvaises.
Si le reste est meilleur, ce dont, comme je l'ai déjà dit, je ne préjuge pas, le moins que l'on puisse dire, c'est que choisir de mettre celles-ci en exergue est une maladresse regrettable.
Parce qu'en effet, vu le prix du livre de nos jour et le nombre de choses passionnantes qu'il y a à lire un peu partout, on a du mal du coup à se convaincre de dépenser les sous qu'il coûte pour aller vérifier. J'appelle ça une erreur de com.
Et si elles sont au contraire représentatives de ta plume, et bien, tu sais ce que j'en pense. Dans ce cas, il vaut mieux pour l'écrivain ignorer la critique plutôt que de se colter avec elle. Ou tu vas finir comme Werber.
Chris, intervention maladroite de ta part.
Ces lignes-là sont mauvaises.
Si le reste est meilleur, ce dont, comme je l'ai déjà dit, je ne préjuge pas, le moins que l'on puisse dire, c'est que choisir de mettre celles-ci en exergue est une maladresse regrettable.
Parce qu'en effet, vu le prix du livre de nos jour et le nombre de choses passionnantes qu'il y a à lire un peu partout, on a du mal du coup à se convaincre de dépenser les sous qu'il coûte pour aller vérifier. J'appelle ça une erreur de com.
Et si elles sont au contraire représentatives de ta plume, et bien, tu sais ce que j'en pense. Dans ce cas, il vaut mieux pour l'écrivain ignorer la critique plutôt que de se colter avec elle. Ou tu vas finir comme Werber.
"Ils ne sont grands que parce que vous êtes à genoux"