entre autres, mais le premier tome de HP date quand même de 1997 !Christopher a écrit :Ils lisent Eragon, Fascination, les Chevaliers d'émeraude, Artemis Fowl...Thomas Geha a écrit :Et ils sont où les lecteurs d'Harry Potter ?
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- Thomas Geha
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Ils lisent Luis Sepulveda, Sire Cédric, Jared Diamond...Thomas Geha a écrit :entre autres, mais le premier tome de HP date quand même de 1997 !Christopher a écrit :Ils lisent Eragon, Fascination, les Chevaliers d'émeraude, Artemis Fowl...Thomas Geha a écrit :Et ils sont où les lecteurs d'Harry Potter ?
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Bonjour Adunaphel,adunaphel a écrit :Bonjour Audrey,
je viens de lire que dans votre discours vous mêliez bit-litt et urban fantasy. Pour vous ces deux expressions désignent une même littérature ou est-ce un amalgame exagéré ?
La bit-litt n'est-elle pas surtout centrée sur des choses immortelles, belles, sensuelles et homosexuelles à longues canines pointues ?
Les éditeurs/lecteurs US-UK comprennent sous le nom d'urban fantasy la bit-litt. Disons qu'on chasse plus communément le vampire ou le démon en ville qu'en rase campagne.
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Précisément. C'est bien pour cette raison qu'il faut rappeler, régulièrement, que certains de leurs titres, quelle que soit leur qualité intrinsèque, relèvent de la SFF.Thomas Geha a écrit :Werber, Chattam, et consorts sont de plus en plus souvent classés dans les rayons de littérature générale. Peut-on encore les faire entrer dans ces classements ? Ce n'est pas un peu l'arbre qui cache la forêt? Qui plus est, je ne trouve pas que leur public, dans sa grande majorité, s'intéresse au rayon SF/Fantasy... ils vont plus vers Musso et Levy... et France Loisirs
Par ailleurs, en grands réseaux de distribution (Fnac, Virgin, etc.), on les trouve en rayons de genre.
- Thomas Geha
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L'apparition d'Orbit en France va permettre de décliner les catalogues anglais et américains en France. À terme, est-ce que l'inverse te semble envisageable ? À savoir, que la logique de groupe permette d'exporter des oeuvres française de SFF éditées dans le groupe Hachette vers le Royaume-Uni ou les Etats-Unis ? (même si, à ce que j'ai compris, les marchés anglais et américains n'en ont pas particulièrement besoin)
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C'est vrai, ça. Pourquoi les Anglo-Saxons pourraient-ils se mettre en orbite en France et pas la réciproque ?jlavadou a écrit :L'apparition d'Orbit en France va permettre de décliner les catalogues anglais et américains en France. À terme, est-ce que l'inverse te semble envisageable ? À savoir, que la logique de groupe permette d'exporter des oeuvres française de SFF éditées dans le groupe Hachette vers le Royaume-Uni ou les Etats-Unis ? (même si, à ce que j'ai compris, les marchés anglais et américains n'en ont pas particulièrement besoin)
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Ce serait bien, oui ! L'arrivée d'Orbit en France constitue sans nulle doute une opportunité.jlavadou a écrit :L'apparition d'Orbit en France va permettre de décliner les catalogues anglais et américains en France. À terme, est-ce que l'inverse te semble envisageable ? À savoir, que la logique de groupe permette d'exporter des oeuvres française de SFF éditées dans le groupe Hachette vers le Royaume-Uni ou les Etats-Unis ? (même si, à ce que j'ai compris, les marchés anglais et américains n'en ont pas particulièrement besoin)