Jérôme Noirez
Modérateurs : Eric, jerome, Charlotte, tom
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- Enregistré le : jeu. févr. 11, 2010 9:44 pm
Je e permets de réagir à la bourre sur cette remarque.
Est-ce à dire que tu es à ce point énervant de génie que tu écris toujours "bon du premier coup" ?
Globalement dans ton acte d'écriture, tu n'accordes que peu ou pas de temps au travail de relecture / peaufinage / etc.
Ou bien as-tu des esclaves qui font le boulot à ta place ?
Ou encore travailles-tu d'arrache-pied 15 heures par jour pour conserver un rythme soutenu en même temps que la qualité du texte ?
Je n'ai pas tout quoté, mais j'ai retenu l'idée.eidolon a écrit : J'ai bien ri en tombant sur cette note en quatrième de couverture de la version poche de La Horde du Contrevent où il est dit que l'auteur "écrit peu, par exigence". Curieuse définition de l'exigence. Je songe à un pianiste concertiste qui avouerai : "je bosse mon piano qu'une heure par semaine par exigence".
Est-ce à dire que tu es à ce point énervant de génie que tu écris toujours "bon du premier coup" ?
Globalement dans ton acte d'écriture, tu n'accordes que peu ou pas de temps au travail de relecture / peaufinage / etc.
Ou bien as-tu des esclaves qui font le boulot à ta place ?
Ou encore travailles-tu d'arrache-pied 15 heures par jour pour conserver un rythme soutenu en même temps que la qualité du texte ?
si on commence à mélanger sf archaïque et proto-sf, personne ne s'y retrouvera plus.
Dieu.
Dieu.
Je n'ai pas tout quoté, mais j'ai retenu l'idée.
Est-ce à dire que tu es à ce point énervant de génie que tu écris toujours "bon du premier coup" ?
Globalement dans ton acte d'écriture, tu n'accordes que peu ou pas de temps au travail de relecture / peaufinage / etc.
Je ne comprends pas (ou avec peine) l'articulation avec mon propos... J'ai dit justement qu'il n'y avait pas d'autre vertu que le travail, et en écriture, il me semble bien que la relecture, le peaufinage, etc. en fait partie. Quant à écrire "bon du premier coup", cela me faciliterait grandement la tâche comme super-pouvoir. Et je suis énervant tout court, pas de génie, juste énervant.
Ou bien as-tu des esclaves qui font le boulot à ta place ?
Ou encore travailles-tu d'arrache-pied 15 heures par jour pour conserver un rythme soutenu en même temps que la qualité du texte ?
Euh... On se connait ? Je t'ai causé du mal dans une vie antérieure ?
Sur ce, vous voudrez bien m'excuser...
PS: merci Xavier, pour l'éclat de rire qui précède.
Est-ce à dire que tu es à ce point énervant de génie que tu écris toujours "bon du premier coup" ?
Globalement dans ton acte d'écriture, tu n'accordes que peu ou pas de temps au travail de relecture / peaufinage / etc.
Je ne comprends pas (ou avec peine) l'articulation avec mon propos... J'ai dit justement qu'il n'y avait pas d'autre vertu que le travail, et en écriture, il me semble bien que la relecture, le peaufinage, etc. en fait partie. Quant à écrire "bon du premier coup", cela me faciliterait grandement la tâche comme super-pouvoir. Et je suis énervant tout court, pas de génie, juste énervant.
Ou bien as-tu des esclaves qui font le boulot à ta place ?
Ou encore travailles-tu d'arrache-pied 15 heures par jour pour conserver un rythme soutenu en même temps que la qualité du texte ?
Euh... On se connait ? Je t'ai causé du mal dans une vie antérieure ?
Sur ce, vous voudrez bien m'excuser...
PS: merci Xavier, pour l'éclat de rire qui précède.
- Aurélien Police
- Messages : 61
- Enregistré le : jeu. oct. 22, 2009 3:07 pm
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L'humour est omniprésent dans tes textes et revêt diverses formes et remplit également diverses fonctions. Y a-t-il des choses qui te font rire plus que d'autres aujourd'hui ? (même jaune).
A mon avis, je ne vais pas rire des masses aujourd'hui. Encore que, j'ai du ménage à faire (une vie d'aventure et de passion) et avec un peu de chance, je vais me manger un coin de table, me prendre les pieds dans le fil de l'aspirateur, ou tenir le pulvérisateur d'eau de javel à l'envers.
Hier soir, j'ai fini de regarder la saison 3 de Deadwood, et les répliques de Swearengen (Ian McShane, prodigieux) m'ont comme de coutume fait éclater de rire. Quel crève-coeur que cette série s'arrête en pleine course.
A la foule émue: Aurélien Police est l'illustrateur de la collection Courants Noirs et de l'album Sam dont il a été question à plusieurs reprises. Ca fait quelques années que nous bourlinguons ensemble. Il fait partie du crew, alors si vous voulez profiter de ce fil pour lui demander des trucs, n'hésitez pas.
A mon avis, je ne vais pas rire des masses aujourd'hui. Encore que, j'ai du ménage à faire (une vie d'aventure et de passion) et avec un peu de chance, je vais me manger un coin de table, me prendre les pieds dans le fil de l'aspirateur, ou tenir le pulvérisateur d'eau de javel à l'envers.
Hier soir, j'ai fini de regarder la saison 3 de Deadwood, et les répliques de Swearengen (Ian McShane, prodigieux) m'ont comme de coutume fait éclater de rire. Quel crève-coeur que cette série s'arrête en pleine course.
A la foule émue: Aurélien Police est l'illustrateur de la collection Courants Noirs et de l'album Sam dont il a été question à plusieurs reprises. Ca fait quelques années que nous bourlinguons ensemble. Il fait partie du crew, alors si vous voulez profiter de ce fil pour lui demander des trucs, n'hésitez pas.
Jerôme,
J'aime votre traitement de la condescendance Et grâce à ce fil, je suis contente d'avoir découvert Froissé ! Je parie que mon fils va l'adorer. C'est vraiment chouette de pouvoir "partager" un auteur avec ses enfants. Hum.
Ainsi que vous le précisez plus haut, vous travaillez et peaufinez vos textes. Est-ce que vous pourriez nous expliquer comment vous retravaillez sur la base d'un premier jet ? Est-ce que vous faites intervenir des lecteurs de confiance (comme des amis auteurs de longue date, ce genre de chose) ? Faites-vous reposer votre texte ? Est-ce que vous montrez votre premier jet, ou bien préférez-vous toujours le relire avant de le confronter à un regard extérieur ?
Est-ce que vous travaillez sur plusieurs projets à la fois, ou bien, êtes-vous trop pris par chaque récit pour multiplier vos implications dans des textes différents ?
Aurélien, bonjour,
Comme le dit Jerôme, vous travaillez ensemble depuis longtemps. Il se dégage une alchimie dans la fusion de vos dessins et textes, du moins, c'est que je ressens de mon point de vue de lectrice.
De ce que j'ai lu, iIl est fréquent que les illustrateurs ne lisent pas le texte qu'ils illustrent et qu'ils soient uniquement dirigés par l'éditeur. Quelle différence cela fait pour toi de travailler sur un texte et avec un auteur que tu connais (outre le plaisir) ? Te sens-tu plus libre, ou au contraire, plus sous pression ?
J'aime votre traitement de la condescendance Et grâce à ce fil, je suis contente d'avoir découvert Froissé ! Je parie que mon fils va l'adorer. C'est vraiment chouette de pouvoir "partager" un auteur avec ses enfants. Hum.
Ainsi que vous le précisez plus haut, vous travaillez et peaufinez vos textes. Est-ce que vous pourriez nous expliquer comment vous retravaillez sur la base d'un premier jet ? Est-ce que vous faites intervenir des lecteurs de confiance (comme des amis auteurs de longue date, ce genre de chose) ? Faites-vous reposer votre texte ? Est-ce que vous montrez votre premier jet, ou bien préférez-vous toujours le relire avant de le confronter à un regard extérieur ?
Est-ce que vous travaillez sur plusieurs projets à la fois, ou bien, êtes-vous trop pris par chaque récit pour multiplier vos implications dans des textes différents ?
Aurélien, bonjour,
Comme le dit Jerôme, vous travaillez ensemble depuis longtemps. Il se dégage une alchimie dans la fusion de vos dessins et textes, du moins, c'est que je ressens de mon point de vue de lectrice.
De ce que j'ai lu, iIl est fréquent que les illustrateurs ne lisent pas le texte qu'ils illustrent et qu'ils soient uniquement dirigés par l'éditeur. Quelle différence cela fait pour toi de travailler sur un texte et avec un auteur que tu connais (outre le plaisir) ? Te sens-tu plus libre, ou au contraire, plus sous pression ?
Frogs rock.
http://www.cocyclics.org
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J'ai du mal interpréter, mais j'ai compris la citation de Damasio "écrire peu comme exigence" comme signifiant qu'il passait beaucoup de temps sur son texte pour atteindre un niveau d'exigence considéré par lui comme élevé.eidolon a écrit :Je n'ai pas tout quoté, mais j'ai retenu l'idée.
Est-ce à dire que tu es à ce point énervant de génie que tu écris toujours "bon du premier coup" ?
Globalement dans ton acte d'écriture, tu n'accordes que peu ou pas de temps au travail de relecture / peaufinage / etc.
Je ne comprends pas (ou avec peine) l'articulation avec mon propos... J'ai dit justement qu'il n'y avait pas d'autre vertu que le travail, et en écriture, il me semble bien que la relecture, le peaufinage, etc. en fait partie. Quant à écrire "bon du premier coup", cela me faciliterait grandement la tâche comme super-pouvoir. Et je suis énervant tout court, pas de génie, juste énervant.
Ou bien as-tu des esclaves qui font le boulot à ta place ?
Ou encore travailles-tu d'arrache-pied 15 heures par jour pour conserver un rythme soutenu en même temps que la qualité du texte ?
Euh... On se connait ? Je t'ai causé du mal dans une vie antérieure ?
Sur ce, vous voudrez bien m'excuser...
De l'autre côté tu dis écrire beaucoup et progresser de cette façon (enfin je comprends que c'est ce que tu dis) donc je suis très admirative.
Mes propos sont (pour une fois) complètement exempts d'ironie ou de second degré.
Donc, pour faire une question plus directe : quelle partie de ton temps représente le "premier jet" et quelle partie le peaufinage / réécritue.
Et puisque justement ce que j'ai lu m'a semblé très travaillé comment arrives-tu à concilier ce travail avec le rythme de parution qui t'es nécessaire pour vivre de ta plume ?
J'espère que c'est plus clair comme ça, mais en même temps si on se comprenait toujours du premier coup sur un forum, Internet ne serait pas Internet
si on commence à mélanger sf archaïque et proto-sf, personne ne s'y retrouvera plus.
Dieu.
Dieu.
- dracosolis
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- Enregistré le : mar. févr. 07, 2006 8:08 pm
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- Aurélien Police
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- Enregistré le : jeu. oct. 22, 2009 3:07 pm
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Bien, à l'invitation de Jérôme je me permets donc de rajouter mon petit grain de sel.
De ce que j'ai lu, iIl est fréquent que les illustrateurs ne lisent pas le texte qu'ils illustrent et qu'ils soient uniquement dirigés par l'éditeur. Quelle différence cela fait pour toi de travailler sur un texte et avec un auteur que tu connais (outre le plaisir) ? Te sens-tu plus libre, ou au contraire, plus sous pression ?
Il y a forcément une dimension affective supplémentaire qui est à la fois enthousiasmante et un brin stressante.
Enthousiasmante parce que l'on retrouve avec curiosité un nouvel univers d'un auteur que l'on suit et dont on apprécie le travail ; c'est un peu comme retrouver une vieille connaissance que l'on a perdue de vue depuis longtemps. Il y a cet agréable sentiment de familiarité conjugué à la découverte de l'inconnu de ces années écoulées.
Stressante parce qu'on a toujours peur de se planter en proposant quelque chose qui ne corresponde pas et, du coup, de décevoir à la fois l'auteur et l'ami.
Il y a aussi, pour moi, cette sensation de progresser dans le temps. En général lorsque l'on fait une couverture, hop, une fois bouclée, on passe à autre chose, à un autre auteur, un autre livre. Lorsqu'on retrouve le même auteur au fil de ses publications, on a le sentiment d'évoluer en parallèle, de se créer des repères.
Autrement, il n'y a pas plus ou moins de liberté car c'est l'éditeur qui décide toujours au final.
De ce que j'ai lu, iIl est fréquent que les illustrateurs ne lisent pas le texte qu'ils illustrent et qu'ils soient uniquement dirigés par l'éditeur. Quelle différence cela fait pour toi de travailler sur un texte et avec un auteur que tu connais (outre le plaisir) ? Te sens-tu plus libre, ou au contraire, plus sous pression ?
Il y a forcément une dimension affective supplémentaire qui est à la fois enthousiasmante et un brin stressante.
Enthousiasmante parce que l'on retrouve avec curiosité un nouvel univers d'un auteur que l'on suit et dont on apprécie le travail ; c'est un peu comme retrouver une vieille connaissance que l'on a perdue de vue depuis longtemps. Il y a cet agréable sentiment de familiarité conjugué à la découverte de l'inconnu de ces années écoulées.
Stressante parce qu'on a toujours peur de se planter en proposant quelque chose qui ne corresponde pas et, du coup, de décevoir à la fois l'auteur et l'ami.
Il y a aussi, pour moi, cette sensation de progresser dans le temps. En général lorsque l'on fait une couverture, hop, une fois bouclée, on passe à autre chose, à un autre auteur, un autre livre. Lorsqu'on retrouve le même auteur au fil de ses publications, on a le sentiment d'évoluer en parallèle, de se créer des repères.
Autrement, il n'y a pas plus ou moins de liberté car c'est l'éditeur qui décide toujours au final.
Ainsi que vous le précisez plus haut, vous travaillez et peaufinez vos textes. Est-ce que vous pourriez nous expliquer comment vous retravaillez sur la base d'un premier jet ? Est-ce que vous faites intervenir des lecteurs de confiance (comme des amis auteurs de longue date, ce genre de chose) ? Faites-vous reposer votre texte ? Est-ce que vous montrez votre premier jet, ou bien préférez-vous toujours le relire avant de le confronter à un regard extérieur ?
Je ne pratique pas le premier jet (laugh now), car je ne supporte pas d'abandonner un paragraphe potentiellement boiteux pour passer au suivant. Dès qu'un paragraphe est achevé, il subit un traitement immédiat. Et ainsi de suite... Ma première tâche, chaque matin ou presque, est de relire ce qui a été produit la veille. Je fonctionne en prenant en quelque sorte de plus en plus de distance avec l'objet. Je ne suis pas un auteur au kilomètre. Ce qui fait que ma productivité journalière (laugh now) n'est pas fameuse. Un gars comme Fabrice Colin me bat à plate couture (applause).
Est-ce que vous travaillez sur plusieurs projets à la fois, ou bien, êtes-vous trop pris par chaque récit pour multiplier vos implications dans des textes différents ?
Non, je ne planche en général que sur un texte à la fois. Je prends peu de notes, je gère la plupart des choses avec le disque dur organique, et il n'est pas très stable. J'ai une partition quand même qui me permet de commencer à brosser le livre suivant. Durant une de mes récentes rencontres, les élèves qui avaient rencontré avant moi un vrai écrivain, m'ont demandé si j'avais moi aussi des carnets. Je leur ai sorti mon magnifique Moleskine en peau de koala (je m'étais dit qu'avoir un Moleskine me permettrait d'adopter une posture tout de suite plus littéraire), qui est quasi intégralement recouvert de dessins d'enfant (il m'arrive, entre autres, de le prêter dans le train quand j'ai à côté des mouflets qui s'emmerdent), avec quelques vagues embryons de notes que généralement je n'arrive même pas à relire.
Mes propos sont (pour une fois) complètement exempts d'ironie ou de second degré.
Pardon si je les ai mal interprétés, alors. C'est à cause de cette putain de troisième saison de Deadwood qui n'aura pas de suite... Ca m'a échauffé.
Donc, pour faire une question plus directe : quelle partie de ton temps représente le "premier jet" et quelle partie le peaufinage / réécritue.
Et puisque justement ce que j'ai lu m'a semblé très travaillé comment arrives-tu à concilier ce travail avec le rythme de parution qui t'es nécessaire pour vivre de ta plume ?
Tout d'abord, j'ai mentionné la 4e de couv. de la Horde, parce que cette petite phrase me semblait assez symptomatique. Alain n'y est sans doute pour rien, et mon objet n'était pas d'orienter cette question sur une quelconque critique du livre ou de son auteur. Je crois qu'il y a, particulièrement en France, une sorte d'apparatus mythique autour du statut d'écrivain, personnage qui échapperait aux basses contingences des autres arts. Et c'est cet apparatus avec lequel je me frictionne.
Pour répondre à tes questions, le peaufinage n'est pas chez moi une constante mais une variable qui change considérablement d'un livre à l'autre. J'ai appris, en pratiquant l'improvisation musicale pure, à prendre des décisions rapides, à ne pas avoir une peur panique des secousses, des ratés, à accepter aussi le fait que l'achèvement n'existe pas. J'ai l'exigence pragmatique. Et quand je vois la biographie d'un mec comme Pelot, j'ai plutôt tendance à me dire que je ne suis qu'une grosse feignasse.
Pardon si je les ai mal interprétés, alors. C'est à cause de cette putain de troisième saison de Deadwood qui n'aura pas de suite... Ca m'a échauffé.
Donc, pour faire une question plus directe : quelle partie de ton temps représente le "premier jet" et quelle partie le peaufinage / réécritue.
Et puisque justement ce que j'ai lu m'a semblé très travaillé comment arrives-tu à concilier ce travail avec le rythme de parution qui t'es nécessaire pour vivre de ta plume ?
Tout d'abord, j'ai mentionné la 4e de couv. de la Horde, parce que cette petite phrase me semblait assez symptomatique. Alain n'y est sans doute pour rien, et mon objet n'était pas d'orienter cette question sur une quelconque critique du livre ou de son auteur. Je crois qu'il y a, particulièrement en France, une sorte d'apparatus mythique autour du statut d'écrivain, personnage qui échapperait aux basses contingences des autres arts. Et c'est cet apparatus avec lequel je me frictionne.
Pour répondre à tes questions, le peaufinage n'est pas chez moi une constante mais une variable qui change considérablement d'un livre à l'autre. J'ai appris, en pratiquant l'improvisation musicale pure, à prendre des décisions rapides, à ne pas avoir une peur panique des secousses, des ratés, à accepter aussi le fait que l'achèvement n'existe pas. J'ai l'exigence pragmatique. Et quand je vois la biographie d'un mec comme Pelot, j'ai plutôt tendance à me dire que je ne suis qu'une grosse feignasse.
- Roland C. Wagner
- Messages : 3588
- Enregistré le : jeu. mars 23, 2006 11:47 am
Lézards À Gros Seins.eidolon a écrit :
pfff encore un qui va pas me faire des textes avec des Lags
J'ai pas compris. C'est quoi, des Lags ?
Un truc métaphysique.
« Regarde vers Lorient / Là tu trouveras la sagesse. » (Les Cravates à Pois)
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