Mon âme par toi guérieFrédi a perdu sa mère. Cette dernière lui a transmis un don, dont il ne veut pas entendre parler. Mais il se trouve peu à peu contraint de reconnaître que ses mains guérissent... Il s'interroge. D'où vient ce don ? Qu'importe, il l'accepte...
Bande-annonce :
PREMIÈRE : « Parfois surlignées, y compris dans les dialogues, issus de son propre roman, les étouffantes intentions réalistico-poétiques de Dupeyron sont heureusement oxygénées par un casting riche en bagout et en trognes. »
LE PARISIEN : « Signée Yves Angelo, star des directeurs de la photographie, l’image vient comme un baume, un réconfort, envelopper les personnages à fleur de peau de la lumière qu’ils méritent. »
LE NOUVEL OBSERVATEUR : « Lyrisme, lumière hivernale, humanité servent ce film ultrasensible. »
LA CROIX : « Un film vibrant d’humanité, porté par le talent de Céline Sallette, Grégory Gadebois et Jean-Pierre Darroussin. »
TÉLÉRAMA : « François Dupeyron réalise, pas souvent, pas assez souvent, des films irrésistibles par leur sincérité, des films qui collent au réel, mais qui sont tout sauf réalistes. »
CRITIKAT : « Le mauvais simulacre d’un cinéma d’auteur français prétentieux et trop souvent caricaturé. »
Lettre à MomoLe père de Momo, une fillette de onze ans, a disparu en mer. Elle quitte Tokyo pour s’installer avec sa mère sur une petite île où le temps semble s’être arrêté. Des phénomènes surprenants commencent à se produire...
Bande-annonce :
KANPAI : « On ne s’y ennuie pas, tant le rythme du film est maîtrisé de part en part, jusqu’à un final digne des moments les plus shinto de Pompoko ou Princesse Mononoke. »
FILM DE CULTE : « Un long métrage hyper attachant, un véritable petit trésor. »
PREMIÈRE : « Ce film ambitieux n’a rien à envier techniquement aux productions Ghibli, dont il atteint presque la qualité émotionnelle. »
LE NOUVEL OBSERVATEUR : « Si la ligne claire et les thèmes abordés rappellent évidemment le travail délicat des studios Ghibli, le film n’atteint pas tout à fait, en revanche, la puissance libertaire de leurs allégories. »
TÉLÉRAMA : « Grâce aux facéties des trois esprits, le fantastique se fond avec grâce et humour dans le propos réaliste. »
CRITIKAT : « Lettre à Momo aligne une partition légère et sans conviction de péripéties candides sans vraiment d’ampleur pour approcher le thème, pourtant mature, du deuil. »
Sylvain Fontaine