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Au cinéma cette semaine
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Au cinéma cette semaine

Clochette et la fée pirate
 
Zarina, la fée chargée de veiller sur la poussière de fée, décide par lassitude de tout abandonner, d’emmener avec elle un peu du précieux trésor et de se lier avec la bande de pirates qui sillonne les mers environnantes. Pour Clochette et ses amies les fées, c’est le début d’une nouvelle grande aventure où tous leurs pouvoirs vont se retrouver chamboulés sous l’effet d’une certaine poudre bleue…
 
Bande-annonce : 
 
  
LE PARISIEN : « S'il est signé de la même réalisatrice que Clochette et le Secret des fées, ce cinquième opus s'avère moins spectaculaire que le précédent. » 
DVDcritiques : « il faut tout de même une dose de candeur pour apprécier tout cela. Mais vous avez déjà eu quatre films pour vous faire votre idée. Ce cinquième est juste un petit cran au-dessous du précédent, mais vous fera passer également un très bon moment si vous êtes fan de la poussière de fées et de la nature enchantée. » 
L’EXPRESS : « Scénario translucide, personnages caricaturaux, animation sans âme, couleurs criardes, dialogues bêtifiants... Cette nouvelle aventure de Clochette est un pur produit industriel sans ambition artistique. »
PREMIERE : « On regrette le manque de féerie (un comble) et le peu de soin accordé à l’animation, qui ne distingue pas le film du tout-venant télévisuel. » 
LE MONDE : « Le scénario bien rythmé, les points de vue variés et les scènes spectaculaires sur le bateau pirate devraient pouvoir charmer les plus petits. »
 
 
 
47 Ronin 
 
Un perfide seigneur de guerre ayant tué leur maître et banni leur tribu, 47 samouraïs jurent de se venger et de restaurer l'honneur de leurs compatriotes. Arrachés à leurs foyers, ils errent dans un univers violent, peuplé de monstres mythologiques, de métamorphoses maléfiques et d'effroyables dangers.
 
Bande-annonce : 
 
 
CINEMA FANTASTIQUE : « Quoique peu boiteux et largement imparfait, 47 Ronin assure en effet un spectacle visuellement enchanteur ponctué de quelques scènes fort réussies qui en rehaussent l’intérêt avant une conclusion étonnante. » 
ECRAN LARGE : « À bien des égards, le métrage de Carl Rinsch est tout à fait recommandable en dépit d'indéniables défauts. »
TF1/EXCESSIF : « On a l'impression que tout le monde a voulu donner son avis pendant le tournage et le montage et qu'en voulant plaire à tout le monde, le résultat provoque beaucoup de frustration. C'est dans cet état que l'on sort de la projection. »
PREMIERE : « Ce n’est pas le mauvais goût qui est en cause mais plutôt l’inculture, l’amnésie volontaire et l’arrogance des cadres du studio, aveuglés par leur foi exclusive dans les études de marché et leur mépris des spectateurs. »
TELERAMA : « Un désastre financier et artistique, pour un film sans âme, technologiquement anachronique et plastiquement vulgaire. » 
LES INROCKUPTIBLES : « Une série B imparfaite mais attachante. » 
 
 
 
L'Étrange petit chat 
 
Simon et Karin rendent visite à leurs parents et à leur petite sœur Clara dans leur appartement berlinois. Ces retrouvailles apparemment ordinaires font basculer les personnages dans un monde étrange où se déploie une exaltante chorégraphie du quotidien.
 
Bande-annonce : 
 
 
FILM DE CULTE : « L’Étrange petit chat bout d’une tension sourde et singulière, comme une cocotte-minute au bord de l’implosion mais qui ne déborde jamais, et qu’on ne peut s’empêcher de scruter, fasciné par tant de remous internes. Un premier film qui laisse pantois. » 
PREMIERE : « Discussions de groupe, focalisations sur les animaux domestiques ou jeux bruyants de la petite fille deviennent autant d’éléments à la violence discrète qui enferment les personnages dans une profonde solitude et font ressembler ce convaincant exercice de style à un film d’horreur sans cadavres. » 
A VOIR – A LIRE : « Alors que la première demi-heure est vraiment désopilante, la suite échoue à proposer un renouvellement du dispositif et L’étrange petit chat se résume dès lors à une œuvre expérimentale tournant en boucle sur son propre système. » 
CRITIKAT : « Ce récit d’une journée comme une autre se charge d’une certaine mélancolie face à ce temps qui nous échappe sans que l’on s’en aperçoive, et que le film recueille avec une attention et une douceur qui rendent importants chaque petit moment. » 
LIBERATION : «Une réunion de famille de plus en plus flippante dans un premier film berlinois réussi. » 
TELERAMA : « Le film est ambitieux, maîtrisé, plutôt réussi. Et cependant un rien trop poseur pour passionner vraiment. »
 
Sylvain Fontaine
 

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