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Au cinéma cette semaine
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Au cinéma cette semaine

Délivre-nous du mal
 
A New York, le policier Ralph Sarchie enquête sur une série de crimes. Il s'associe avec un prêtre non conventionnel, spécialisé dans les rituels d'exorcisme. Tous deux vont lutter contre les possessions qui terrorisent leur ville.
 
Bande-annonce : 
 
 
ECRAN LARGE : « Trop roublard et classique dans son agencement de la peur, Délivre-nous du mal marque en revanche beaucoup de points dans le rythme de son récit et nous rappelle combien Scott Derrickson est un habile créateur d'images. »
FILMOSPHERE : « Travaillant plus l’ambiance que les jump scares, le mélange exorcisme et thriller policier fonctionne avec un Eric Bana convaincant. »
MONDO CINE : « D’une belle audace dans sa confection métissée, plus flippant par son arc dramatique, sa narration et l’atmosphère troublante et captivante qu’il déploie, que par sa propension à aligner le frisson via des screamers orchestrés pour faire mouche instantanément. »
A VOIR – A LIRE : « On attendait un excellent film d’horreur et l’on se retrouve face à un pensum chrétien occasionnellement efficace. »
PREMIERE : « Chouette, un nanar! »
LES INROCKUPTIBLES : « Un tract catho maquillé en film de possession : gênant. »
 
 
 
Le Secret de Kanwar
 
Umber Singh, un patriarche sikh, se voit contraint de fuir son village natal devant le nettoyage ethnique qui suit la partition de l’Inde et du Pakistan en 1947. Après avoir eu 4 filles, il est déterminé à élever comme un fils Kanwar son dernier enfant, et à cacher son véritable sexe à tout le monde. Mais quand Umber marie Kanwar à Nelli, une fille de plus basse caste, tous trois ont à faire face à la vérité de leur identité et des limites de leur volonté.
 
Bande-annonce : 
 
 
A VOIR – A LIRE : « S’il pourrait être reproché au film ses quelques zones d’ombre, notamment quant au destin de certains personnages et au tournant fantastique pris par le récit, Le Secret de Kanwar reste un long-métrage sensible, porté par des acteurs aux performances d’une grande justesse. »
PREMIERE : « A la fois un mélo familial, un drame historique et un film de fantômes. Malgré un dernier mouvement fantastique poussif, le récit, élégant, est hanté par un beau trouble. »
CRITIKAT : « Le film incarne avec doigté l’angoisse et la douleur de la contradiction d’une part, et de la possession par le passé d’autre part. »
TELERAMA : « En basculant dans le fantastique, hélas, le film s'embourbe dans le symbolisme. » 
 
Sylvain Fontaine
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