LAZARUS EFFECT
Une équipe de chercheurs universitaires découvre comment ramener les morts à la vie. Ils n'imaginent pas ce que leurs expériences vont déclencher.
Bande-annonce :
TERREURVISION : « Lazarus Effect, aussi basique qu'il puisse être, se place parmi ce qui nous est proposé de mieux dans son genre, en attendant mieux... »
EXCESSIF/TF1 : « Une série B ridicule, lestée de clichés, aux personnages falots et aux enjeux limités. »
A VOIR – A LIRE : « Les idées manquent, les acteurs rament, et la peur est absente.»
THE VOICES
Jerry est amoureux de la comptable de son travail. Il va se confier à ses animaux de compagnie qui ont la faculté de parler : un chat qui le pousse à commettre des meurtres en série et un chien affable.
Bande-annonce :
ECRAN LARGE : « Une rêverie putride et pop à hurler de rire. »
SCI-FI UNIVERSE : « The Voices est donc une surprise permanente, jusque dans un dernier acte épatant. »
A VOIR – A LIRE : « Un petit bonbon acidulé au cœur fondant d’humour noir. »
CULTUREBOX : « Marjane Satrapi parvient au parfait équilibre. »
TELERAMA : « Ni vraiment drôle ni vraiment terrorisant, le film avance cahin-caha, sans le peps ou l'invention que réclamaient ces télescopages. »
CRITIKAT : « Une exploration psychologisante longue et vaine. »
HORSEHEAD
Jessica est une jeune femme qui va devoir mener l'enquête sur le passé étrange de sa famille au sein de ses propres rêves.
Bande-annonce :
SCI-FI UNIVERSE : « Une vraie proposition cinématographique ambitieuse et de belle ampleur. »
FILMOSPHERE : « Un long-métrage cliché et fauché. »
A VOIR – A LIRE : « Ce passeport pour un univers onirique captivant et viscéral, à la poésie palpable, opère son entreprise de séduction en dépit d’un équilibre narratif parfois précaire. »
PREMIERE : « Ce thriller horrifique cumule les approximations en termes de récit et de direction d’acteurs, ne faisant hélas jamais oublier son côté fauché. »
TELERAMA : « Ce bon vieux Freud et sa psychanalyse des rêves se retrouvent au coeur d'une intrigue anorexique, mise en scène avec une grandiloquence kitsch. »
CRITIKAT : « Au fil de son récit, le réalisateur va délaisser les simples contingences narratives qui veulent que tout ait un début, une fin, une raison pour apparaître, préférant donner vie à des tableaux monstrueux, aussi brillants par leur qualité même que par l’illustration qu’ils proposent aux déviances cachées dans les profondeurs des histoires de famille. »
Sylvain Fontaine
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