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Au cinéma cette semaine
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Au cinéma cette semaine

DIVERGENTE 2 : L’INSURRECTION
 
 
Dans un monde post-apocalyptique où la société a été réorganisée autour de 5 factions, Tris a mis à jour un complot mené par la faction dominante, les Erudits, dirigés par Janine. Abandonnant une ville à feu et à sang, à la recherche d’alliés, Tris et Four sont désormais traqués par les autorités.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Bande-annonce :
 
 
L’ECRAN-MIROIR : « On commence vraiment à avoir fait le tour des univers dystopiques tirés de livres Young Adults, et ce Divergente 2 ne semble pas avoir grand chose de plus à raconter que ses concurrents. »
 
A VOIR – A LIRE : « Si les amateurs de science-fiction se détourneront définitivement de la saga, le public à la recherche de sensations fortes y trouvera plus que son compte. »
 
LE POINT : « Il manque à Divergente une véritable résonance émotionnelle et la capacité à dépasser une recette appliquée trop consciencieusement pour qu'on en oublie les ingrédients. »
 
LES INROCKUPTIBLES : « Divergente ne semble hélas pas pouvoir échapper aux vieux poncifs de la science-fiction dystopique (totalitarisme, cobayes humains, dilemmes moraux à deux balles, etc.). »
 
 
BIG EYES
 
 
Big Eyes raconte la scandaleuse histoire vraie de l’une des plus grandes impostures de l’histoire de l’art. À la fin des années 50 et au début des années 60, le peintre Walter Keane a connu un succès phénoménal et révolutionné le commerce de l’art grâce à ses énigmatiques tableaux représentant des enfants malheureux aux yeux immenses.
 
 
 
 
 
 
 
 
Bande-annonce : 
 
 
 
L’ECRAN-MIROIR : « On aurait vraiment trouvé le film excellent si le scénario avait un peu poussé la réflexion sur la condition de l'auteur, et avec une réalisation plus inventive. »
 
ECRAN LARGE : « Totalement artificiel et désincarné, Big Eyes symbolise parfaitement l'actuel désert artistique traversé par Tim Burton. »
 
A VOIR – A LIRE : « Au final, le biopic est charmant, divertissant, sûrement fréquentable mais également bancal. On ne désespère donc pas de retrouver un jour le Tim Burton que l’on aime. »
 
PREMIERE : « Pour son meilleur film depuis longtemps, Burton renoue avec la Californie et avec les scénaristes d’ Ed Wood. »
 
TELERAMA : « Rarement on a vu Tim Burton aussi lisse dans sa mise en scène. »
 
CRITIKAT : « Burton se fond dans un académisme ronflant avec la virtuosité d’un septuagénaire se glissant dans ses charentaises. »
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