Irena Brignul, Les Sorcières du clan du Nord, Le Sortilège de Minuit, trad. Emmanuelle Casse-Castric, Gallimard Jeunesse : coup de cœur pour ce touchant roman du coming of age chez deux jeunes filles échangées à la naissance.
Lionel Davoust, Les Dieux sauvages 1. La Messagère du ciel, éditions Critic : une formidable héroïne dans un univers ultra-maîtrisé = un excellent moment de fantasy !
E.R. Eddison, Le Serpent Ouroboros, trad. Patrick Marcel, Callidor « Âge d’or de la fantasy » : première traduction française de ce monument à (re)découvrir, foisonnant, étonnant, passionnant.
Estelle Faye, Les Seigneurs de Bohen, éditions Critic : je suis toujours emportée par les partis pris originaux d’Estelle Faye, et d’autant plus ici au sein d’une fantasy épique en apparence plus classique
Angélica Gorodischer, Kalpa Impérial, trad. Mathias de Breyne, La Volte : découverte majeure de l’année, une grande voix argentine.
Jim Hines, Magie Ex-Libris, vol. 2, Lecteurs nés (trad. Lionel Davoust), L’Atalante : drôle et rythmé, hyper-inventif, bourré de références geek avec supplément d’âme, une série et un auteur à suivre.
Philip Pullman, La Belle Sauvage (Le livre de la poussière, tome1), trad. Jean Esch, Gallimard Jeunesse, et Daemon Voices, essays on storytelling (David Fickling Books) : le grand retour, incontournable, d’un de mes auteurs préférés !
Ekaterina Sedia, L’Alchimie de la Pierre, trad. Pierre-Paul Durastanti, Le Bélial’ : un beau roman steampunk mélancolique – et encore une femme !
.jpg)
Jo Walton, Mes vrais enfants, trad. Florence Dolisi. Denoël « Lunes d’encre »
Jo Walton, Les Griffes et les crocs, trad. Florence Dolisi. Denoël « Lunes d’encre »
Deux titres de cette même excellente romancière, oui… parus aux deux extrémités de l’année, le second étant la traduction d’un roman plus ancien, - et tous deux très différents l’un de l’autre : une uchronie intimiste d’une part, un croisement Jane Austen/dragons d’autre part !
