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Au cinéma cette semaine
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Au cinéma cette semaine

La Belle et La Bête 
 
1810. Après le naufrage de ses navires, un marchand ruiné doit s’exiler à la campagne avec ses six enfants. Parmi eux se trouve Belle, la plus jeune de ses filles, joyeuse et pleine de grâce.
Lors d’un éprouvant voyage, le Marchand découvre le domaine magique de la Bête qui le condamne à mort pour lui avoir volé une rose.
Se sentant responsable du terrible sort qui s’abat sur sa famille, Belle décide de se sacrifier à la place de son père. Au château de la Bête, ce n’est pas la mort qui attend Belle, mais une vie étrange, où se mêlent les instants de féerie, d’allégresse et de mélancolie.
 
Bande-annonce : 
 
 
MYTHOLOGICA : «Un film méritant largement le terme de « féerique » employé souvent à tort. »
CLONE WEB : « Si on voudrait saluer la démarche de Gans de A à Z, il est difficile de passer à côté des errements d’un scénario qui a les yeux plus gros que le ventre par rapport aux moyens mis à disposition, tout comme les acteurs tous plus paumés les uns que les autres. »
FRANCE TELEVISIONS : « Une grande aventure visuelle, démonstrative d’un savoir-faire français de haute volée. »
A VOIR – A LIRE : « Une démonstration esthétique qui manque cruellement de discours. »
CRITIKAT : « La Belle et la Bête opte pour une mise en lumière inédite de la Bête, et non plus seulement du personnage féminin, et démontre simultanément que le cinéma français peut encore faire rêver avec des légendes et des monstres d’un autre temps. Une bonne nouvelle en somme. »
LIBERATION : « La Belle et la Bête en jette parfois. Mais sa façon d’en mettre plein la vue contraste avec son impuissance à nourrir, aussi bien que nos yeux, notre crâne, notre cœur ou notre ventre. »
 
 
 
M. Peabody et Sherman : Les Voyages dans le temps 
 
M.Peabody est la personne la plus intelligente au monde. Il est à la fois lauréat du prix Nobel, champion olympique, grand chef cuisinier... et il se trouve aussi être un chien ! Bien qu’il soit un génie dans tous les domaines, M. Peabody est sur le point de relever son plus grand défi : être père. Pour aider Sherman, son petit garçon adoptif, à se préparer pour l’école, il décide de lui apprendre l’histoire et construit alors une machine à voyager dans le temps. Les choses commencent à mal tourner quand Sherman enfreint les règles et perd accidentellement dans le temps Penny, sa camarade de classe.
 
Bande-annonce : 
 
 
BRAINDAMAGED : « Un savant mélange d’éducation et de comique qui ravira toute la famille. L’être le plus intelligent du monde prouve qu’il a de la gueule ! » 
ECRAN LARGE : « M. Peabody et Sherman ne révolutionnera pas le genre. Mais personne ne le lui demandait finalement. Et si on est bien dans le produit standard qui ne surprendra personne, on ne pourra que se féliciter qu'en faisant ainsi le job il ratisse large et contentera petits et grand. » 
A VOIR – A LIRE : « On ne parlera pas de désastre de l’animation, Peabody & Sherman reste travaillé et agréable à suivre, mais il n’attire pas le capital de sympathie qu’il devrait également susciter chez le public adulte, habitué à plus de second degré. » 
PREMIERE : « Pas inoubliable, certes, mais franchement sympathique. » 
TELERAMA : « Ce nouveau film d'animation en 3D des studios DreamWorks ressemble à un joli jouet en plastique : amusant, mais un peu toc. »
 
 
 
Tante Hilda ! 
 
Tante Hilda, amoureuse de la nature, conserve dans son musée végétal des milliers de plantes du monde entier. Beaucoup sont en voie de disparition. Parallèlement, une nouvelle céréale, Attilem, mise au point par des industriels, se cultive avec si peu d’eau, sans engrais, et produit des rendements si prodigieux, qu’elle apparaît comme la solution miracle pour enrayer la faim dans le monde et prendre le relais du pétrole dont les réserves s’épuisent. Mais la catastrophe n’est pas loin…
 
Bande-annonce : 
 
 
ECRAN LARGE : « Toutes les idées du scénario, même les plus folles et absurdes, semblent fonctionner sans difficulté grâce à la dérision, la légèreté du trait et une recherche impeccable du mouvement. »
 
http://www.ecranlarge.com/movie_review-read-33769-189441.php
 
PREMIERE : « Un trait inachevé donne des airs de work in progress au rythme endiablé. Cet aspect volontiers brouillon résume hélas le film, dont le contenu protestataire a tendance à étouffer la poésie et la part enfantine, sous-exploitées. »
A VOIR – A LIRE : « Délirant, fantaisiste, charismatique, Tante Hilda fait passer son message de vie et de plante sans forcer le trait. » 
CRITIKAT : « Les réalisateurs maîtrisent à merveille un récit où l’absurde, l’exagération permanente permettent au film de sortir de l’ornière entrevue du pensum idéologique pour accéder à une dimension plus douce, personnelle et touchante. » 
TELERAMA : « Jacques-Rémy Girerd défend l'écologie en traits ronds et en teintes pétulantes. Ici, il invente carrément le film d'animation catastrophe : quand Attilem passe et que tout trépasse, on se croirait dans La Guerre des mondes ! » 
POSITIF : « La délicatesse et la finesse du trait, la subtile palette chromatique des images et la pertinence du casting vocal sont mises à mal par un discours environnementaliste qui prend le pas sur le scénario et le visuel. »
 
 
 
Le Secret de la pierre de lune 
 
Une nuit, deux mystérieux étrangers s'introduisent à Gadgetville, le village des inventeurs, pour fouiller la maison du vieil explorateur Klaus. Lotte les surprend alors qu'ils s'enfuient en laissant tomber la pierre jaune qu'ils viennent de dérober. Lotte devine que ce ne sont pas des cailloux ordinaires mais des pierres dotées de pouvoirs magiques et elle décide de les rassembler toutes trois pour résoudre le mystère. Elle part alors sur les routes pour les retrouver en compagnie de son oncle Klaus.
 
Bande-annonce : 
 
 
PREMIERE : « Si les personnages enjoués et les situations rocambolesques peuvent réjouir les plus jeunes, design et 2D font en revanche très datés, sans compter des plans en 3D ratés. » 
LE PARISIEN : « L'ensemble, qui tire sans cesse sur le loufoque et le bizarre, s'avère toutefois un peu ardu. » 
STUDIO / CINELIVE : « Ce film flirte même avec la poésie absurde dans ses meilleurs moments. »
LE MONDE : « Sans être antipathique, la fantaisie sur laquelle repose le récit confine plus au « n'importe quoi » qu'à la poésie surréaliste dont il se réclame. »
 
Sylvain Fontaine
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