Jean Christophe Grangé est né 1961 à Paris. Auteur à succès de thrillers comme Le vol des cigognes (1994), Les rivières pourpres (1998) et Le concile de pierre (2000). C'est un des rares écrivains français dans le domaine des thrillers à s'être fait un nom aux Etats Unis. Voici son nouveau roman La forêt des mânes.
Voyage au bout de l'enfer vert.
Une jeune juriste, Jeanne Korowa, travaille au TGI de Nanterre. Soupçonnant son petit ami Thomas de la tromper, elle utilise ses prérogatives de juge d'instruction pour enregistrer les séances du psychiatre de celui-ci pour savoir la vérité. Tous les soirs elle reçoit les enregistrements. Se prenant au jeu elle décide d'écouter les autres rendez vous du praticien. Jusqu'à surprendre un mystérieux visiteur qui parle de son fils autiste aux crises et pulsions meurtrières.
Il ne lui faut pas longtemps pour faire le rapprochement avec le tueur cannibale qui sévit sur Paris. Coincée elle ne peut pas parler de ses écoutes et encore moins les utiliser pour confondre le tueur. C'est à la suite de la mort de son collègue qui enquêtait sur le serial killer que Jeanne va prendre l'enquête en mains mais en toute illégalité. C'est le point de départ d'une descente aux enfers vers le Nicaragua, le Guatemala et le fond des lagunes d'Argentine. Elle y trouvera des réponses aux origines du mal chez l'homme mais les comprendra t-elle ?
Craignez les mauvais esprits.
Les mânes sont des esprits qui remontent aux origines, il fallait les craindre au plus au point. C'est sur cette idée que se construit le dernier roman de Jean Christophe Grangé. L'auteur utilise à son habitude le canevas d'un tueur en série pour emmener ses lecteur aux portes de l'enfer. Tout commence à Paris pour finir en Argentine. Voyage au bout de l'enfer vert.
Une jeune juriste, Jeanne Korowa, travaille au TGI de Nanterre. Soupçonnant son petit ami Thomas de la tromper, elle utilise ses prérogatives de juge d'instruction pour enregistrer les séances du psychiatre de celui-ci pour savoir la vérité. Tous les soirs elle reçoit les enregistrements. Se prenant au jeu elle décide d'écouter les autres rendez vous du praticien. Jusqu'à surprendre un mystérieux visiteur qui parle de son fils autiste aux crises et pulsions meurtrières.
Il ne lui faut pas longtemps pour faire le rapprochement avec le tueur cannibale qui sévit sur Paris. Coincée elle ne peut pas parler de ses écoutes et encore moins les utiliser pour confondre le tueur. C'est à la suite de la mort de son collègue qui enquêtait sur le serial killer que Jeanne va prendre l'enquête en mains mais en toute illégalité. C'est le point de départ d'une descente aux enfers vers le Nicaragua, le Guatemala et le fond des lagunes d'Argentine. Elle y trouvera des réponses aux origines du mal chez l'homme mais les comprendra t-elle ?
Craignez les mauvais esprits.
Comme toujours les descriptions sont fouillées et sentent le voyage de documentation. Le décor est décrit avec force détails et couleurs.
L'ensemble est bien construit et très documentés. Des personnages glauques à souhait, des scènes extrêmement gores, une tentative d'explication sur cette fêlure qui fait que l'homme est un danger pour lui même complète ce nouvel opus et termine sa trilogie du mal. Et même si le dénouement est un peu décevant l'histoire est prenante et on se laissera surprendre par ce voyage aux portes des esprits de la mort.
Les fans ne seront pas déçu, voici un nouveau Grangé à conseiller pour les prochaines nuits d'hiver.