Eiichi Shimizu est né en 1978 à Osaka. Il a déjà signé plusieurs petites histoires indépendantes avant de produire sa première véritable série, Kurogane no Linebarrels. Il prend en charge le scénario et le design des robots, ainsi que certains personnages. Il est accompagné sur cette série par Tomohiro Shimoguchi. On notera que cette série est plébiscitée par plusieurs designers de séries de robots géants, comme Yoshikazu Yasuhiko, l’auteur de Mobil suit Gundam, the origin.
Le mystère des macchinae...
Amagatsu Kizaki a confié Linebarrel à Koichi Hayase : le jeune homme peut enfin profiter de la macchinae au maximum de son potentiel, et il compte bien utiliser cette nouvelle puissance pour mettre un terme aux agissements du commandant de l’organisation Kato, dont on apprend les réelles motivations. Les raisons du conflit qui oppose Kato à Juda sont complexes et finalement très humaines...
De son côté, le président Ishigami avance aussi ses pions afin de mener son mystérieux plan à son terme, et la révélation qu’il fera aux héros risque fort de les surprendre !
enfin dévoilé !
La série poursuit son petit bonhomme de chemin depuis plusieurs volumes maintenant, et prend son temps pour détailler les événements et les doutes qui assaillent les personnages. On appréciera d’ailleurs le travail des éditions Glénat, qui réunissent deux volumes en un seul, ce qui permet de découvrir sans frustration les développements d’un univers dans lequel les surprises et autres rebondissements ne manquent pas ! Les enjeux autour des macchinae sont toujours au centre de l’histoire, et le lien particulier que les pilotes tressent avec elles trouve une explication étonnante. Le moins qu’on puisse dire est qu’on ne s’attendait pas aux révélations que ces derniers volumes mettent en scène ! Elles apportent une dimension supplémentaire aux propos de ce manga, qui offre aussi une intéressante réflexion sur la relation de l’homme à la machine et à ses créations.
Les combats sont toujours aussi dynamiques, avec des dessins efficaces et toujours lisibles. Le travail sur les expressions du visage des personnages est particulièrement réussi, tout comme le design des macchinae. Trahisons, complots et lutte pour le pouvoir sont également bien présents et permettent au récit d’éviter tout manichéisme. La série s’avère plus proche d’un Evangelion, dans la représentation des robots ou la relation presque charnelle des factors avec eux. Si l’aspect politique n’est pas oublié, il n’est pas aussi important que dans des séries comme Gundam, où les robots sont surtout des armes et des outils au service des personnages, et servent à décrire les conséquences de la guerre sur les populations.
Les amateurs de robots géants seront aux anges avec Kurogane no Linebarrel : les macchinae sont réussies, les personnages fouillés, et l’intrigue pleine de rebondissement. La série se terminant au volume 24, les surprises ne devraient pas manquer d’ici-là... à suivre !
Le mystère des macchinae...
Amagatsu Kizaki a confié Linebarrel à Koichi Hayase : le jeune homme peut enfin profiter de la macchinae au maximum de son potentiel, et il compte bien utiliser cette nouvelle puissance pour mettre un terme aux agissements du commandant de l’organisation Kato, dont on apprend les réelles motivations. Les raisons du conflit qui oppose Kato à Juda sont complexes et finalement très humaines...
De son côté, le président Ishigami avance aussi ses pions afin de mener son mystérieux plan à son terme, et la révélation qu’il fera aux héros risque fort de les surprendre !
enfin dévoilé !
La série poursuit son petit bonhomme de chemin depuis plusieurs volumes maintenant, et prend son temps pour détailler les événements et les doutes qui assaillent les personnages. On appréciera d’ailleurs le travail des éditions Glénat, qui réunissent deux volumes en un seul, ce qui permet de découvrir sans frustration les développements d’un univers dans lequel les surprises et autres rebondissements ne manquent pas ! Les enjeux autour des macchinae sont toujours au centre de l’histoire, et le lien particulier que les pilotes tressent avec elles trouve une explication étonnante. Le moins qu’on puisse dire est qu’on ne s’attendait pas aux révélations que ces derniers volumes mettent en scène ! Elles apportent une dimension supplémentaire aux propos de ce manga, qui offre aussi une intéressante réflexion sur la relation de l’homme à la machine et à ses créations.
Les combats sont toujours aussi dynamiques, avec des dessins efficaces et toujours lisibles. Le travail sur les expressions du visage des personnages est particulièrement réussi, tout comme le design des macchinae. Trahisons, complots et lutte pour le pouvoir sont également bien présents et permettent au récit d’éviter tout manichéisme. La série s’avère plus proche d’un Evangelion, dans la représentation des robots ou la relation presque charnelle des factors avec eux. Si l’aspect politique n’est pas oublié, il n’est pas aussi important que dans des séries comme Gundam, où les robots sont surtout des armes et des outils au service des personnages, et servent à décrire les conséquences de la guerre sur les populations.
Les amateurs de robots géants seront aux anges avec Kurogane no Linebarrel : les macchinae sont réussies, les personnages fouillés, et l’intrigue pleine de rebondissement. La série se terminant au volume 24, les surprises ne devraient pas manquer d’ici-là... à suivre !