T'aurais pu préciser honorablement...jlavadou a écrit :Inutile de vérifier l'IP, Naroungas est une personne connue de nos services...
Le Serpent D'Angoisse
Modérateurs : Eric, jerome, Jean, Travis, Charlotte, tom, marie.m, Nathalie
Le message ci-dessus peut contenir des traces de second degré, d'ironie, voire de mauvais esprit.
Son rédacteur ne pourra être tenu pour responsable des effets indésirables de votre lecture.
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- Roland C. Wagner
- Messages : 3588
- Enregistré le : jeu. mars 23, 2006 11:47 am
Fermer un sujet sur un livre publié par ActuSF alors qu'un autre fil que je ne citerai pas en est à presque 700 pages serait une preuve définitive de partialité.jlavadou a écrit :Bonjour bonjour,
comme les copains modérateurs sont occupés ou en vacances, et qu'il me reste encore des droits de modération, je vais en abuser pour vous demander de ne pas trop hausser le ton, sinon il y a un sujet qui va vite se retrouver fermé.
Ou alors tu fermes les deux.
« Regarde vers Lorient / Là tu trouveras la sagesse. » (Les Cravates à Pois)
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Donc, en résumé, certains n'ont pas aimés le bouquin, pour des raisons qui peuvent être considérées comme discutables, et sont discutées. D'autres, par contre, ont aimé. L'auteur apporte des précisons, avec verve. Quelques persifleurs goguenards interviennent pour égayer l'ensemble des discussions. Bonhomme et souriant, presque paternel, le modérateur vient rappeler que l'emportement de la passion n'empêche pas la courtoisie.
La sympathique routine du monde normal sur Actusf, quoi !
J'aime bien.
Oncle Joe
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Oncle Joe
Moi, étrangement, non.Travis a écrit :En tout cas vous m'avez tous donné envie de lire Le Serpent d'Angoisse
Enfin, le lire, je dis pas...
Mais le chroniquer...
Hop : Cédric FERRAND, Wastburg
- Roland C. Wagner
- Messages : 3588
- Enregistré le : jeu. mars 23, 2006 11:47 am
C'est amusant.
La critique de la première édition parue à l'époque dans Fiction est signée de quelqu'un qui n'est certainement pas de gauche. Pourtant, il n'a pas vu de « méchants riches » ni de « gentils pauvres ». Je retranscris ci-dessous de larges extraits de sa critique, qui est disponible en intégralité ici.
En 1988, Pascal J. Thomas écrivait donc ceci :
(…) Le postulat sur lequel repose le livre est proche de la Chronolyse de Michel Jeury : employés par un trust des loisirs, des télépathes sous l'empire d'une drogue ont construit des univers imaginaires. Mais leurs frontières se brouillent, et ils sont envahis par des rêveurs « sauvages » en provenance des lisières de la mort. Tout cela prend place dans le cadre d'une révolte des laissés pour-compte du rêve américain — ce serpent qui étrangle les USA et s'incarne en des émeutes aux quatre coins du territoire, imaginées avec plus d'énergie que de souci du réalisme.
A contre-courant donc de la thématique de l'engloutissement qui marque les protagonistes de Jeury, Wagner donne une œuvre frénétique, sèchement écrite (une qualité sur la longueur d'un Fleuve). (…) Imaginer, sous le choc de la société à deux vitesses issue des années reaganiennes, un retour à l'embrasement des ghettos et aux runaways, ce n'est pas foncièrement absurde,. (…)
Voilà ce que j'appelle une critique, malgré sa brièveté :
* texte situé dans un contexte littéraire et historique (et il n'oublie pas de préciser en introduction que c'est un premier roman)
* résumé court mais exact
* nuances dans l'appréciation : le critique n'adhère pas au postulat socio-politique, et il le fait sentir, mais il ne le caricature ni ne le rejette en bloc
Prenez-en de la graine.
La critique de la première édition parue à l'époque dans Fiction est signée de quelqu'un qui n'est certainement pas de gauche. Pourtant, il n'a pas vu de « méchants riches » ni de « gentils pauvres ». Je retranscris ci-dessous de larges extraits de sa critique, qui est disponible en intégralité ici.
En 1988, Pascal J. Thomas écrivait donc ceci :
(…) Le postulat sur lequel repose le livre est proche de la Chronolyse de Michel Jeury : employés par un trust des loisirs, des télépathes sous l'empire d'une drogue ont construit des univers imaginaires. Mais leurs frontières se brouillent, et ils sont envahis par des rêveurs « sauvages » en provenance des lisières de la mort. Tout cela prend place dans le cadre d'une révolte des laissés pour-compte du rêve américain — ce serpent qui étrangle les USA et s'incarne en des émeutes aux quatre coins du territoire, imaginées avec plus d'énergie que de souci du réalisme.
A contre-courant donc de la thématique de l'engloutissement qui marque les protagonistes de Jeury, Wagner donne une œuvre frénétique, sèchement écrite (une qualité sur la longueur d'un Fleuve). (…) Imaginer, sous le choc de la société à deux vitesses issue des années reaganiennes, un retour à l'embrasement des ghettos et aux runaways, ce n'est pas foncièrement absurde,. (…)
Voilà ce que j'appelle une critique, malgré sa brièveté :
* texte situé dans un contexte littéraire et historique (et il n'oublie pas de préciser en introduction que c'est un premier roman)
* résumé court mais exact
* nuances dans l'appréciation : le critique n'adhère pas au postulat socio-politique, et il le fait sentir, mais il ne le caricature ni ne le rejette en bloc
Prenez-en de la graine.
« Regarde vers Lorient / Là tu trouveras la sagesse. » (Les Cravates à Pois)
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Je savais que tu étais un grand lâche. C'est pas une attaque personnelle, c'est un constat.Nébal a écrit :Moi, étrangement, non.Travis a écrit :En tout cas vous m'avez tous donné envie de lire Le Serpent d'Angoisse
Enfin, le lire, je dis pas...
Mais le chroniquer...
Mouhahahaha !!!!!
Euh... sinon,
Ça pourrait aussi fonctionner pour Outrage et rébellion, nan ?Razheem L'insensé a écrit :Pas du tout convaincu, c'était agréable à lire pour les idées sur le mondes psychique et les possibilités offertes mais c'est d'un caricatural hallucinant (Les méchants riches et les gentils pauvres en somme). Dommage.
Pardon, je sors.
C'est là faire preuve d'une bien piètre considération pour la capacité stomacale de Joe...jlavadou a écrit :Tu es un double optimiste, alors : le verre à moitié plein ET l'estomac à moitié plein !Lensman a écrit :surtout quand c'est de la bière ou du vin, et que la première moitié est déjà dans mon estomac...
Le message ci-dessus peut contenir des traces de second degré, d'ironie, voire de mauvais esprit.
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- Razheem L'insensé
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Je ne sais pas je ne l'ai pas lu.Aldaran a écrit :Ça pourrait aussi fonctionner pour Outrage et rébellion, nan ?Razheem L'insensé a écrit :Pas du tout convaincu, c'était agréable à lire pour les idées sur le mondes psychique et les possibilités offertes mais c'est d'un caricatural hallucinant (Les méchants riches et les gentils pauvres en somme). Dommage.
Pardon, je sors.
Si ça peut aider, j'ai a-do-rer Le goût de l'immortalité.
"J'ai creusé ma Tombe en ce Lieu , et c'est ici que je triompherai ou mourrai " Chapelain Grimaldus des Black Templars Lors de la bataille D'Helreasch.
http://fuckmeimfamousss.blogspot.fr/
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Je préfère celui-ci, moi.Razheem L'insensé a écrit :Je ne sais pas je ne l'ai pas lu.Aldaran a écrit :Ça pourrait aussi fonctionner pour Outrage et rébellion, nan ?Razheem L'insensé a écrit :Pas du tout convaincu, c'était agréable à lire pour les idées sur le mondes psychique et les possibilités offertes mais c'est d'un caricatural hallucinant (Les méchants riches et les gentils pauvres en somme). Dommage.
Pardon, je sors.
Si ça peut aider, j'ai a-do-rer Le goût de l'immortalité.
Lis-le !
- Razheem L'insensé
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Je sais je sais, je vais le faire ^^ Catherine Dufour figure dans mes auteurs préférés.
Mais j'ai quelques SP avant aussi...
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"J'ai creusé ma Tombe en ce Lieu , et c'est ici que je triompherai ou mourrai " Chapelain Grimaldus des Black Templars Lors de la bataille D'Helreasch.
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- Roland C. Wagner
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+1Aldaran a écrit :Je préfère celui-ci, moi.Razheem L'insensé a écrit :Je ne sais pas je ne l'ai pas lu.Aldaran a écrit :Ça pourrait aussi fonctionner pour Outrage et rébellion, nan ?Razheem L'insensé a écrit :Pas du tout convaincu, c'était agréable à lire pour les idées sur le mondes psychique et les possibilités offertes mais c'est d'un caricatural hallucinant (Les méchants riches et les gentils pauvres en somme). Dommage.
Pardon, je sors.
Si ça peut aider, j'ai a-do-rer Le goût de l'immortalité.
Lis-le !
Je peux t'assurer que les pauvres n'y sont pas moins gentils et les riches pas moins méchants que dans Le Serpent D'angoisse.
Tu vas adorer.
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