J'ai tenté un "petit" titre (le grand secret) en sachant que ce n'était pas le plus réputé. J'en attendais pas grand chose. Pas dépassé 50 pages à cause du couple principal, tout ce que j'abhorre. Rapide coup d'oeil à la fin histoire de voir comment ça finit, quand même : c'est encore pire !dracosolis a écrit : pas obligé de remonter à un vieux barbon qui en plus squatte indûment les étagères de l'éducation nationale depuis trente ans au lieu de faire la place à des gens normaux
(laisse tomber je suis une trauma de Barjavel^^)
(je le hais)
En demandant si je devais tester un autre bouquin, en précisant pourquoi je ne pouvais pas lire celui-là, avis unanime : c'est tout le temps comme ça.
Y'a donc un trou en forme de Barjavel dans ma culture.
(ce qui est bizarre, c'est que des nanas pas intéressantes, ça pullule en SF de l'âge d'or. Mais elles me dérangent pas. Les potiches, ça va. On sent que quelque part, ce sont des potiches essentiellement parce que les auteurs n'ont jamais vraiment adressé la parole à une femme. Il faut qu'ils imaginent et ils sont pas doués. Et puis y'a le fait d'être pré-années 70 qui joue, c'est social*. Ils ne souhaitent pas consciemment les rabaisser. Barjavel, c'est du rabaissement. Des baffes.)
*lu un Heinlein "juvenile" des années 60 réédité récemment, je sais plus le titre, des jumeaux partant explorer l'univers. Il y a du respect et de l'égalité homme/femme, c'est presque progressiste !, mais à un moment, y'en a quand même une officier scientifique qui pleure parce qu'elle ne peut pas aller en mission : elle est enceinte et son mari ne veut pas qu'elle risque sa vie, et il faut bien qu'elle lui obéisse. Et tout le reste de la hiérarchie, qui a besoin de ses compétences, s'incline devant l'ordre du mari. Mouarf !)