John Brunner
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John Brunner
très très clairement, dans les incontournables pour moi, il y a John Brunner et tout particulièrement Tous à Zanzibar .
Voilà un roman qui n'a pas pris une ride et que je trouve encore très d'actualité avec la surpopulation, les types qui deviennent tarés et massacre les gens autour d'eux...
Et puis il me reste un phrase de Tous à Zanzibar : Depuis combien de temps n'avez vous pas marché sous la pluie ?
Voilà un roman qui n'a pas pris une ride et que je trouve encore très d'actualité avec la surpopulation, les types qui deviennent tarés et massacre les gens autour d'eux...
Et puis il me reste un phrase de Tous à Zanzibar : Depuis combien de temps n'avez vous pas marché sous la pluie ?
Jérôme
'Pour la carotte, le lapin est la parfaite incarnation du Mal.' Robert Sheckley
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- Eric
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Les trois autres sont tout à fait réussis aussi. Le Troupeau aveugle particulièrement, qui parle de la pollution, et fait froid dans le dos.
Le moins réussi est, pour moi, L'Orbite déchiquetée, qui traite du complexe miltaro-industriel, mais c'est très relatif.
Le moins réussi est, pour moi, L'Orbite déchiquetée, qui traite du complexe miltaro-industriel, mais c'est très relatif.
"Ueeuuggthhhg", laissa échapper Caity. Ce qui aurait pu vouloir dire n’importe quoi.
- jlavadou
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Le troupeau aveugle est mon préféré de la tétralogie noire - même si mes souvenirs sont assez flous car ça fait longtemps que je les ai lus. Notamment parce que Brunner y fait appel à une prise de conscience de chacun contre le problème de la pollution. J'aime cette idée qu'il ne faille pas toujours chercher une réponse scientifique, sociologique ou politique à certains problèmes, mais plutôt appeler chacun à prendre ses responsabilités dans la mesure de ses moyens. Chose qui pourrait s'appliquer aujourd'hui pour pas mal de problèmes...
John Brunner est sans doute mon auteur préféré de SF.
Outre la Tétralogie noire, j'ai un faible tout particulier pour Le Creuset du temps.
Le soleil d'une planète se dirige vers une zone de turbulence, et la seule solution pour ses habitants : fuir dans l'espace. Le roman sera le récit, extrêmement étalé dans le temps, des progrès scientifiques nécessaires à l'espèce pour identifier le danger, et imaginer puis préparer la fuite.
Avec ceci de très original que les habitants en question sont des plantes intelligentes, et que l'humanité est absolument absente.
Roman étonnament optimiste pour un Brunner, et pour moi un petit bijou (enfin petit, c'est relatif) de poésie et d'intelligence.
Outre la Tétralogie noire, j'ai un faible tout particulier pour Le Creuset du temps.
Le soleil d'une planète se dirige vers une zone de turbulence, et la seule solution pour ses habitants : fuir dans l'espace. Le roman sera le récit, extrêmement étalé dans le temps, des progrès scientifiques nécessaires à l'espèce pour identifier le danger, et imaginer puis préparer la fuite.
Avec ceci de très original que les habitants en question sont des plantes intelligentes, et que l'humanité est absolument absente.
Roman étonnament optimiste pour un Brunner, et pour moi un petit bijou (enfin petit, c'est relatif) de poésie et d'intelligence.
Oui, mille fois oui ! Il est dans mon top 10, un des rares livres que je prends le temps de relire.Salomé a écrit :John Brunner est sans doute mon auteur préféré de SF.
Outre la Tétralogie noire, j'ai un faible tout particulier pour Le Creuset du temps.
Roman étonnament optimiste pour un Brunner, et pour moi un petit bijou (enfin petit, c'est relatif) de poésie et d'intelligence.
- Eric
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Je trouve toutefois qu'il passe à côté de quelque chose en anthropomorphisant trop ses plantes. Du coup, dans le feu de la lecture on ne vient à oublier totalement qu'l ne s'agit pas d'humains.Salomé a écrit : Outre la Tétralogie noire, j'ai un faible tout particulier pour Le Creuset du temps.
A la différence de Vinge qui lui sait toujours nous le rappeler, que ce soit dans Aux Tréfonds du ciel et Un Feu sur l'abîme.
"Ueeuuggthhhg", laissa échapper Caity. Ce qui aurait pu vouloir dire n’importe quoi.
- orcusnf
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Je crois que nous pouvons parler de mythe de la sf pour cet auteur.
Il a peu publié, mais c'était toujours bon, voire exceptionnel.
Sa tétralogie est, comment dire, je ne peux pas dire en fait, je ne trouve pas de qualificatifs. Je n'ai pas encore trouvé l'orbite déchiquetée, mais au vu du reste, ça promet. Le pire, c'est qu'il ne se trompe pas toujours!!! Et qu'il reconnait ses erreurs!! Comparez zanzibar et l'onde de choc, le rôle des ordinateurs évolue!
J'ai 2 autres de lui chez moi, et ils sont prioritaires bien entendu.
Il a peu publié, mais c'était toujours bon, voire exceptionnel.
Sa tétralogie est, comment dire, je ne peux pas dire en fait, je ne trouve pas de qualificatifs. Je n'ai pas encore trouvé l'orbite déchiquetée, mais au vu du reste, ça promet. Le pire, c'est qu'il ne se trompe pas toujours!!! Et qu'il reconnait ses erreurs!! Comparez zanzibar et l'onde de choc, le rôle des ordinateurs évolue!
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D'un autre côté, se baser sur ce qui est réellement disponible chez les éditeurs français ces temps-ci pourrait accréditer l'impression que Brunner a peu écrit, en effet.orcusnf a écrit :mais qui a osé me tromper de la sorte?
C'est chiant, les modes. Fut un temps où il se traduisait cinq ou six Brunner l'an (pas tous des chefs d'oeuvre, mais aucun navet). Par exemple, j'ai relu récemment Les anges de l'ombre, une petite chose sympathique sortie aux Presses de la Cité, dans la collection "Futurama".